Hervé Le Tellier entretient avec Lisbonne une relation amoureuse, nullement entravée par une quelconque barrière de la langue, puisqu’il ne parle pas un mot de portugais. Ce livre initié il y a plus de quinze ans a reposé longtemps, avant que l’auteur ne ressente l’urgence de le conclure. Pour le porto, au moins, ce n’est pas une mauvaise méthode. La trame d’Eléctrico W a d’abord voulu suivre celle d’un autre livre, bien plus ancien, avant de s’en émanciper.
Information publiée le 23 août 2011