Je suis mathématicienne et m’intéresse à l’histoire et à la littérature. Vous trouverez d’autres informations et des textes sur ma page ouèbe professionnelle, et aussi sur le site de l’Oulipo.
Je trouve important de réintégrer la science dans la culture.
C’est pourquoi il y a des figures dans ce texte, beaucoup de figures, dont certaines n’ont pas l’air d’être des figures, mais des photos d’escalier, par exemple (mais sont bien des figures…). Il y a aussi des formules (très peu) dans ce texte. L’idée est de montrer que les formules sont belles, je précise qu’il n’est jamais nécessaire de les comprendre.
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Je suis l’auteur de plusieurs livres récents liés au sujet du présent texte :
Souvenirs sur Sofia Kovalevskaya, Calvage et Monet, 2008, traduction en anglais en cours, Springer, à propos de cette mathématicienne russe, qui était une spécialiste des équations aux dérivées partielles, des intégrales abéliennes… et des toupies, mais aussi une écrivaine (Sofia a participé à la Commune et est un personnage du présent texte),
Fatou, Julia, Montel, le Grand Prix des sciences mathématiques de 1918 et après, Springer 2009, traduction en anglais, Springer 2011 (il y est question de l’Académie des sciences, de la guerre de 1914–18 et de l’effet de cette guerre sur les mathématiques et les mathématiciens),
Une histoire de Jacques Feldbau, Société mathématique de France, 2010 (où le rôle joué par l’Académie des sciences pendant l’Occupation est évoqué). Il s’agit d’une biographie de ce mathématicien, qui a contribué à la naissance de la topologie avant d’être déporté et d’en mourir.
Comme lecture de vacances pour l’été 2011, je vous propose un petit roman, Le regard d’Ariane, dans lequel il est question de peinture, de Venise, de lumière, de mathématiques et d’amour (entre autres choses).
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C’est pourquoi il y a des figures dans ce texte, beaucoup de figures, dont certaines n’ont pas l’air d’être des figures, mais des photos d’escalier, par exemple (mais sont bien des figures…). Il y a aussi des formules (très peu) dans ce texte. L’idée est de montrer que les formules sont belles, je précise qu’il n’est jamais nécessaire de les comprendre.
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Je suis l’auteur de plusieurs livres récents liés au sujet du présent texte :
Souvenirs sur Sofia Kovalevskaya, Calvage et Monet, 2008, traduction en anglais en cours, Springer, à propos de cette mathématicienne russe, qui était une spécialiste des équations aux dérivées partielles, des intégrales abéliennes… et des toupies, mais aussi une écrivaine (Sofia a participé à la Commune et est un personnage du présent texte),
Fatou, Julia, Montel, le Grand Prix des sciences mathématiques de 1918 et après, Springer 2009, traduction en anglais, Springer 2011 (il y est question de l’Académie des sciences, de la guerre de 1914–18 et de l’effet de cette guerre sur les mathématiques et les mathématiciens),
Une histoire de Jacques Feldbau, Société mathématique de France, 2010 (où le rôle joué par l’Académie des sciences pendant l’Occupation est évoqué). Il s’agit d’une biographie de ce mathématicien, qui a contribué à la naissance de la topologie avant d’être déporté et d’en mourir.
Comme lecture de vacances pour l’été 2011, je vous propose un petit roman, Le regard d’Ariane, dans lequel il est question de peinture, de Venise, de lumière, de mathématiques et d’amour (entre autres choses).