Jeudi 9 Janvier 2014

Parution du roman Cent vingt et un jours, de Michèle Audin, dans la collection l’arbalète-Gallimard.


Dans ce livre, il y a des hommes et des guerres. Il y a aussi des femmes, qui essaient de ne pas subir. Il y a une recherche, des documents d’archives, des lettres, des photographies, des journaux intimes, des nombres, des témoignages, et les notes de l’historien qui mène cette recherche. 
Il y a la grande histoire et l’histoire intime, l’amour, la guerre, les crimes, l’enfer, la mort. Il y a des Allemands, des étudiants, un fou, une «gueule cassée», des historiens, une infirmière, une jeune fille déterminée, des mathématiciens, des médecins. Il y a le XXe siècle, de l’Afrique coloniale au Paris de 1945 en passant par les champs de bataille de la Grande Guerre, un asile psychiatrique, Strasbourg en 1939 et Clermont-Ferrand, Paris occupé et une petite ville d’Allemagne. 
Il y a la littérature, puisque l’historien décide, finalement, d’écrire un roman. 
Celui-ci ?