Résumé

Reprenant les « nombres de Queneau », c’est-à-dire les nombres n permettant de bâtir un poème de n strophes de n vers à la façon d’Arnaut Daniel dans sa sextine du XIIème siècle, les auteurs étudient ici a contrario ce qui se passe lorsque le nombe n n’est pas de Queneau. Le poème compte alors strictement moins de n strophes. Plusieurs exemples sont ici donnés, sur les nombres 10, 16, 19, 32, mais les auteurs « nonisent » aussi un poème de Desnos. Comment dites-vous ? Oui, vous avez raison, le titre de cette BO est une allusion au fameux roman de A. E. van Vogt (traduit par Boris Vian !).