On représente cette relation ternaire comme une multiplication, xy=z, dont on se donne la table. Une table de multiplication étant donnée a priori, on peut utiliser d’autres prédicats : x complote avec y contre z, par exemple.
Les propriétés algébriques de la multiplication choisie s’interprètent en événements d’un récit.
Exemple :
X parle à Y de Z
Dans cet exemple, x parle à y de z, mais il est bien possible que y, elle, parle à x d’un autre, z’, de sorte que cette multiplication-là peut ne pas être commutative.