Séquences de poèmes. Le modèle des hypertropes est la suite de Fibonacci, suite d’entiers naturels où tout élément est la somme des deux éléments qui le précédent. L’hypertrope fait intervenir le théorème de Zeckendorf qui permet de représenter tout entier naturel comme somme d’éléments d’une suite de Fibonacci.

Le transfert de la structure mathématique vers la contrainte littéraire est d’ordre sémantique : le contenu du poème de rang n dépend du contenu des poèmes dont le rang forme la représentation de Zeckendorf de n.

De la contrainte sémantique découlent des contraintes prosodiques.