On ne garde d’un poème que des fins de vers, [réduction aux sections rimantes] créant ainsi des poèmes très brefs, proches du haïku.
Exemple : (à partir des Contemplations)
ceux qui passent
disent, s’effacent.
Quoi ! le bruit !
Quoi, les arbres !
Vous les marbres
Vous la nuit …
Variante
Tête à queue [double haï kai] : prendre le(les) premier(s) mot(s) d’une suite de vers et les coller au(x) dernier(s).