Tel Aviv amir’s pictorial map Free – un dépliant. Le pli de couverture représente une vue stylisée, la mer bleue à gauche, la terre verte à droite, avec quelques bâtiments en élévation, verts eux aussi. Sur une face du plan déplié, entouré des habituelles publicités (Tours to Egypt and Sinai – Keep in touch call home – Burger ranch – Avis…), un plan de la ville, disposé de façon que la côte soit à peu près horizontale et la mer en bas (la rose des vents le dit, le nord est à gauche). L’échelle est indiquée (1/18000), le copyright porte la date de 1988, une légende contient les hôtels, repérés par rapport au quadrillage (1 à 22, A à O). Le fond de la ville est jaune. Sur la mer bleu foncé sont représentés des voiliers. Les grands immeubles alignés le long de la plage sont bien visibles. À gauche une rivière (Yarkon river) bordée d’arbres vient se jeter dans la Méditerranée. À droite une sorte de crique dessine un port, Jaffa port, sous une image évoquant une église (St Peter’s church) quelques quadrilatères et même un rond vert représentent des espaces verts. Les agences des compagnies aériennes (Alitalia, Pan Am…) sont bien visibles. À gauche la route de Haïfa. Au verso des listes (rues, ambassades, musées…) et deux autres plans, Herzliya-on-Sea, où la côte est verticale, et The Old City of Jaffa (en lettres gothiques, dans une touchante assimilation gothique = ancien), où cette fois, la mer est en haut (?!), avec le port et ses restaurants de poisson, St George et St Peter’s church, les jardins, le musée de Jaffa, le mémorial du Yad Vashem et la grande mosquée.
Tu ne dis rien.
Non. Comment se fait-il que certains mélanges fonctionnent et d’autres pas ? J’ai aimé le mélange à Tel Aviv, populations venues du monde entier. Mais la visite de Jérusalem a été un authentique calvaire. J’avais d’ailleurs écrit un petit texte à ce sujet : comment raconter cette visite à un enfant, à Lucia ?
Tu le mets là, ce texte ?
Non. Respectons les contraintes. Dans la collection aussi, Jérusalem est un ratage.
4 avril 2015
(à suivre)
Tu ne dis rien.
Non. Comment se fait-il que certains mélanges fonctionnent et d’autres pas ? J’ai aimé le mélange à Tel Aviv, populations venues du monde entier. Mais la visite de Jérusalem a été un authentique calvaire. J’avais d’ailleurs écrit un petit texte à ce sujet : comment raconter cette visite à un enfant, à Lucia ?
Tu le mets là, ce texte ?
Non. Respectons les contraintes. Dans la collection aussi, Jérusalem est un ratage.
4 avril 2015
(à suivre)