Toronto 2008–2009 Where maps Your free copy est un dépliant, sous une photographie (ciel bleu, CN-Tower blanche). Il contient de nombreuses publicités et cinq plans numérotés (de 1 à 4), tous sans échelle.
Map 1 Downtown Toronto, gris et bleu, rues horizontales et verticales, lac bleu, pictogrammes variés (et non indépendants des messages publicitaires répartis alentour). Plus une liste d’hôtels dont les prestations sont présentées dans un tableau.
Map 2 Mississauga, les rues sont toujours à peu près parallèles ou perpendiculaires au lac, mais le morceau de Toronto qui apparaît à droite montre que l’orientation de ce plan n’est plus la même, autrement dit que la rive du lac a tourné. C’est là que se trouve l’aéroport international (son nom est Pearson).
Map 3 Greater Toronto Area. Celle carte, toujours sans échelle, permettrait d’aller de l’aéroport (à l’ouest, cette fois le nord est indiqué, et il est en haut) jusqu’au zoo de Toronto (à l’est).
Un plan du métro (quatre lignes, verte, jaune, bleue, violette) sur fond noir, avec les noms des stations en blanc, et donc illisibles.
Map 4 Niagara montre la partie du monde comprise entre la rive sud du lac Ontario et la rive nord du lac Érié, avec à droite un petit morceau des États-Unis (et entre, le Niagara et ses chutes). Les neuf terrains de golf sont indiqués par des ronds verts numérotés, un tableau renseigne sur leurs tarifs et les prestations qu’ils offrent.
Tu te souviens du zoo ?
Oui, et des orang-outangs.
Et puis ? Rien. J’y suis retournée toute seule, longtemps après. C’était moins charmant qu’avec Lucia. Mais j’aime bien Toronto.
Oui, moi aussi. Je me souviens d’une visite là-bas, j’étais à l’hôtel, je prenais mon petit déjeuner dans un café. Café (oui, américain), muffin, livre ouvert, j’essayais de m’y retrouver dans les termes techniques de la marine baleinière…
Oh. How to go from Stockholm to Downtown Toronto ? Non. Bon. So… Toronto, son zoo ? Bof. Bon. Stop, dodo !
13 avril 2015
(à suivre)
Map 1 Downtown Toronto, gris et bleu, rues horizontales et verticales, lac bleu, pictogrammes variés (et non indépendants des messages publicitaires répartis alentour). Plus une liste d’hôtels dont les prestations sont présentées dans un tableau.
Map 2 Mississauga, les rues sont toujours à peu près parallèles ou perpendiculaires au lac, mais le morceau de Toronto qui apparaît à droite montre que l’orientation de ce plan n’est plus la même, autrement dit que la rive du lac a tourné. C’est là que se trouve l’aéroport international (son nom est Pearson).
Map 3 Greater Toronto Area. Celle carte, toujours sans échelle, permettrait d’aller de l’aéroport (à l’ouest, cette fois le nord est indiqué, et il est en haut) jusqu’au zoo de Toronto (à l’est).
Un plan du métro (quatre lignes, verte, jaune, bleue, violette) sur fond noir, avec les noms des stations en blanc, et donc illisibles.
Map 4 Niagara montre la partie du monde comprise entre la rive sud du lac Ontario et la rive nord du lac Érié, avec à droite un petit morceau des États-Unis (et entre, le Niagara et ses chutes). Les neuf terrains de golf sont indiqués par des ronds verts numérotés, un tableau renseigne sur leurs tarifs et les prestations qu’ils offrent.
Tu te souviens du zoo ?
Oui, et des orang-outangs.
Et puis ? Rien. J’y suis retournée toute seule, longtemps après. C’était moins charmant qu’avec Lucia. Mais j’aime bien Toronto.
Oui, moi aussi. Je me souviens d’une visite là-bas, j’étais à l’hôtel, je prenais mon petit déjeuner dans un café. Café (oui, américain), muffin, livre ouvert, j’essayais de m’y retrouver dans les termes techniques de la marine baleinière…
Oh. How to go from Stockholm to Downtown Toronto ? Non. Bon. So… Toronto, son zoo ? Bof. Bon. Stop, dodo !
13 avril 2015
(à suivre)