Passeggiando per Verona Mappa della città city map Stadtplan plan de la ville. Ciel bleu, nuage blanc, pont de briques roses et blanches, eau brune, fleurs rouges, de bas en haut sur la photographie. Quelques informations, de la publicité – un dépliant gratuit pris sur un présentoir dans le hall d’un hôtel. Une des annonces publicitaires porte la date 2007. Le plan est assez grossier. L’Adige forme un N bleu à l’envers, le reste est beige ou vert, une ligne noire signale sans doute d’anciennes fortifications. Des tracés rouge (3 300 m), orange (3 000 m), vert (2 500 m) et bleu (3 600 m) dessinent des itinéraires de visite proposés et détaillés dans une sorte de légende (les distances y sont complétées par les temps de parcours, 4 heures pour l’itinéraire rouge, mais il n’y a pas d’échelle). Un grand ovale rouge représente évidemment les arènes, il y a aussi des églises, de la même couleur que les itinéraires auxquels elles appartiennent, la casa di Giulietta célèbre pour ses graffiti et, un peu à l’écart sur l’itinéraire bleu, les jardins Giusti.
Oui, du haut des jardins Giusti (car le plan ne donne aucune idée du relief), le labyrinthe, la vue sur la ville, ses toits, ses couleurs. Vérone, dans l’attente de Venise, comme une façon agréable de différer ce plaisir.
5 mai 2015
(à suivre)
Oui, du haut des jardins Giusti (car le plan ne donne aucune idée du relief), le labyrinthe, la vue sur la ville, ses toits, ses couleurs. Vérone, dans l’attente de Venise, comme une façon agréable de différer ce plaisir.
5 mai 2015
(à suivre)