Plan 2003–2004, quatre photographies, ce qui semble un théâtre romain sous une énorme fleur de tournesol, des femmes achetant des fruits sur un marché, un parc entouré de cyprès et une tour carrée en pierres blanches. Sur une face : Villeneuve-lez-Avignon et ses environs, Nîmes, le pont du Gard, la Camargue, Arles, les Baux-de-Provence, jusqu’au Mont Ventoux en haut à droite. Jaune avec le bleu pâle du Rhône (et de ses bras) et de la Durance et le bleu foncé des autoroutes A7 et A9. Des photographies des lieux d’intérêt, le marché, des détails du fort Saint-André, la tour Philippe-le-Bel, la collégiale Notre-Dame et la chartreuse du Val de Bénédiction. Un texte en français et en anglais présente le « charmant village médiéval, cité des cardinaux ». L’autre face est un plan de la ville avec ses listes, son quadrillage, sa légende (incluant l’inévitable « petit train »), le Rhône et l’île de la Barthelasse en bas à droite. Les monuments présentés sur l’autre face ne sautent pas aux yeux mais on parvient à les localiser.

Le festival d’Avignon vu depuis la chartreuse de Villeneuve-lez-Avignon, la folie vue du calme. Ce fut un vrai bonheur.

Les maronniers sont en fleur.