Dans les salles des classes dont nous avons été élèves, il y avait de grandes cartes murales (Vidal-Lablache) en carton fort que l’on suspendait, par des œillets renforcés de métal, à des crochets fixés, à cet effet, au-dessus du tableau, selon les besoins de la leçon de géographie du jour (France physique, Afrique politique…).
Nostalgie, dit Fiordiligi, des cartes de géographie, des encriers avec leur encre violette, des pupitres, des bonnets d’ânes. Et elle rit. Écoute ça :
Nostalgie, dit Fiordiligi, des cartes de géographie, des encriers avec leur encre violette, des pupitres, des bonnets d’ânes. Et elle rit. Écoute ça :
Regardons bien autour de nous, notre pays et ses habitants ; nous ferons déjà de la géographie.
C’est la première, la toute première leçon que j’ai apprise par cœur, et je m’en souviens encore. Et les autres ? Non, réfléchit-elle. C’est la seule. Mais ce n’est pas le lieu de parler de la mémoire.