Fukuoka Free Map Y0 Now Map Fukuoka, vert, une mince et haute tour grise, un pictogramme rouge représentant deux mains stylisées et serrées avec un commentaire en japonais, Thank you for visiting Fukuoka. Le dépliant s’ouvre en trois, puis se déplie en sept et en accordéon.
Dix de ces vingt et unièmes d’une des faces portent un plan de Tenjin & Hakata Area. Une rivière bleue coule de bas en haut (ou est-ce l’inverse ?) avec une île grise et un affluent, bleu lui aussi (la forme du confluent confirme l’écoulement vers le haut), sur la gauche, en bas à droite la gare rose avec ses rails noirs, son Tourist Information et ses cafés (pictogrammes rouges). À gauche, ce qui est clairement un quartier commerçant. Tout autour, des encarts publicitaires pour des cafés, restaurants ou autres boutiques.
Sur l’autre face, les douze vingt et unièmes de l’espace laissés libres par d’autres réclames (dont une pour le World’s first ELLE café – le « ELLE » est, parfaitement reconnaissable, le titre d’un magazine féminin et français) sont occupés par un plan de Fukuoka dont les Tenjin & Hakata du verso ne forment qu’une partie. Le fleuve coulait bien de bas en haut, puisqu’on le voit ici se jeter dans la mer (la mer du Japon). Il y a un port, en haut, au nord (et encore plus au nord, mais pas visible sur ce plan, la Corée, où la même mer se nomme mer de Corée).
Une carte de situation montre comment se rendre à Dazaifu, le grand lieu touristique local. Un plan de Dazaifu accompagne celui de Fukuoka dans la première boîte à chaussures. Soit il est mal rangé, soit Dazaifu n’est pas une ville, en tout cas il n’y aura pas d’article « Dazaifu » dans ce brouillon.
Il y a des légendes, des échelles et même une date (2011-12, pourtant Fiordiligi est certaine que le plan est arrivée dans la collection en septembre 2011) dans le copyright.
Malgré le grand nombre d’annonces publicitaires ou d’indications cartographiques en japonais, peu d’exotisme dans ce plan.
Dix de ces vingt et unièmes d’une des faces portent un plan de Tenjin & Hakata Area. Une rivière bleue coule de bas en haut (ou est-ce l’inverse ?) avec une île grise et un affluent, bleu lui aussi (la forme du confluent confirme l’écoulement vers le haut), sur la gauche, en bas à droite la gare rose avec ses rails noirs, son Tourist Information et ses cafés (pictogrammes rouges). À gauche, ce qui est clairement un quartier commerçant. Tout autour, des encarts publicitaires pour des cafés, restaurants ou autres boutiques.
Sur l’autre face, les douze vingt et unièmes de l’espace laissés libres par d’autres réclames (dont une pour le World’s first ELLE café – le « ELLE » est, parfaitement reconnaissable, le titre d’un magazine féminin et français) sont occupés par un plan de Fukuoka dont les Tenjin & Hakata du verso ne forment qu’une partie. Le fleuve coulait bien de bas en haut, puisqu’on le voit ici se jeter dans la mer (la mer du Japon). Il y a un port, en haut, au nord (et encore plus au nord, mais pas visible sur ce plan, la Corée, où la même mer se nomme mer de Corée).
Une carte de situation montre comment se rendre à Dazaifu, le grand lieu touristique local. Un plan de Dazaifu accompagne celui de Fukuoka dans la première boîte à chaussures. Soit il est mal rangé, soit Dazaifu n’est pas une ville, en tout cas il n’y aura pas d’article « Dazaifu » dans ce brouillon.
Il y a des légendes, des échelles et même une date (2011-12, pourtant Fiordiligi est certaine que le plan est arrivée dans la collection en septembre 2011) dans le copyright.
Malgré le grand nombre d’annonces publicitaires ou d’indications cartographiques en japonais, peu d’exotisme dans ce plan.
21 juillet 2014
(à suivre)
(à suivre)