Les murs sont utilisés pour isoler, pour séparer, pour protéger, pour marquer des frontières. C’est une des raisons de leur consacrer un article dans un atlas.
Et puis, il y aurait de quoi dresser ici une nouvelle liste, avec
- le mur de Berlin, avec son copain le rideau de fer et son cousin le mur de Nicosie,
- les nombreux murs de la honte, qui permettent aux riches sans vergogne de maintenir les pauvres à distance, parfois à grande échelle, comme pour celui séparant les États-Unis du Mexique, ou le mur israélien,
tels les murailles de Jéricho, ceux-ci pourraient être mis à bas, jetés à terre, les murs anti-émeute que la police installe ici ou là dans nos villes aussi ; la liste comprendrait aussi
- le mur de l’Atlantique, qui n’en était pas un,
- le mur murant Paris (celui des Fermiers-Généraux) qui n’existe plus,
- les murs emplis d’histoire et ainsi objets de culte, le mur des Fédérés à Paris, celui des Lamentations à Jérusalem, ou encore celui des vétérans de la guerre du Vietnam à Washington ;
on y trouverait aussi les murs découverts dans les livres, comme
- le petit pan de mur jaune de Delft,
- les murailles de la ville musulmane de Lisbonne,
sans parler des murs au sens figuré, le mur suisse, à Avoriaz par exemple, et bien sûr les murs des villes, ceux dont dépassent des bougainvillées, du jasmin ou des hybiscus, ceux qui ont la couleur du désert, comme à Ghardaïa ou à même à Jaffa, mais peut-être les lecteurs sont-ils fatigués des listes, alors arrêtons-nous ici.
Sans parler du cri des murs ?
Et puis, il y aurait de quoi dresser ici une nouvelle liste, avec
- le mur de Berlin, avec son copain le rideau de fer et son cousin le mur de Nicosie,
- les nombreux murs de la honte, qui permettent aux riches sans vergogne de maintenir les pauvres à distance, parfois à grande échelle, comme pour celui séparant les États-Unis du Mexique, ou le mur israélien,
tels les murailles de Jéricho, ceux-ci pourraient être mis à bas, jetés à terre, les murs anti-émeute que la police installe ici ou là dans nos villes aussi ; la liste comprendrait aussi
- le mur de l’Atlantique, qui n’en était pas un,
- le mur murant Paris (celui des Fermiers-Généraux) qui n’existe plus,
- les murs emplis d’histoire et ainsi objets de culte, le mur des Fédérés à Paris, celui des Lamentations à Jérusalem, ou encore celui des vétérans de la guerre du Vietnam à Washington ;
on y trouverait aussi les murs découverts dans les livres, comme
- le petit pan de mur jaune de Delft,
- les murailles de la ville musulmane de Lisbonne,
sans parler des murs au sens figuré, le mur suisse, à Avoriaz par exemple, et bien sûr les murs des villes, ceux dont dépassent des bougainvillées, du jasmin ou des hybiscus, ceux qui ont la couleur du désert, comme à Ghardaïa ou à même à Jaffa, mais peut-être les lecteurs sont-ils fatigués des listes, alors arrêtons-nous ici.
Sans parler du cri des murs ?
Elle vient d’où, ton image ?
Celle du mur des fédérés ?
Non, l’ombre avec les poubelles.
Ah ! Une petite ville en Alsace, Rosheim.
Celle du mur des fédérés ?
Non, l’ombre avec les poubelles.
Ah ! Une petite ville en Alsace, Rosheim.