Michèle Audin

Le slogan Making London simple et la date de 1998 figurent aussi sur un autre petit dépliant Travelling in London, qui dresse une liste des « places of interest » avec la station de métro correspondante et l’emplacement sur un plan sommaire de la ville – qui est aussi un plan des lignes d’autobus. Au dos figure le plan du métro, quadrillé, et la liste des stations avec leur localisation dans ce quadrillage.
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AZ Visitor’s map English Français Deutsch est orné de trois photographies, le parlement (et Big Ben), les gardes (rouges) devant les grilles de Buckingham Palace, London Bridge. L’édition date elle aussi de 1998, le plan a coûté 1,95 livres (quatre fois plus que le Motorists, ce qui rend celui-ci très ancien). Entretemps, le calcul de l’échelle a été effectué, donnant 1/10 560. En effet, si les couleurs et les surimpressions sont différentes, le plan est strictement identique. Les gares sont devenues bleues, par exemple, et les sens uniques n’y figurent pas (ainsi Baker street et Oxford street sont aussi jaunes que Regent street). Certains lieux, représentés en noir, sont plus visibles, citons le British Museum et la Tate Gallery.

Londres, dit Fiordiligi, et elle se tait.
Dis quelque chose, c’est une grande ville que beaucoup de lecteurs doivent aimer.
Plan ouvert dans la rue, sous la pluie, un homme très British qui s’arrête et propose de nous aider. Pelléas, dirigé par Colin Davis. Il y a longtemps. Un camping sous une usine à gaz.
Ce n’est pas tout…
Je crois, si. Non, attends, les Turner à la Tate.
Ah…
7 octobre 2014
(à suivre)