Brest métropole océane – avec le joli slogan « tout commence en Finistère » – encore un plan d’hôtel, de la publicité (pour Armor-Lux, les tricots rayés), un index des rues et un plan du centre sur fond beige, avec l’eau bleue de la rade et de la Penfeld et les dents jaunes du port. En cherchant bien, on trouve une date, janvier 2012. Plus de publicité encore au verso, autour d’une carte sommaire des environs, une carte bleue et verte, avec des voiliers, des phares et même une mouette. Beaucoup de points de vue sont indiqués, dont un du pont de l’Iroise.
*
Le pont, oui, je l’ai vu du train, dit Fiordiligi. Il pleuvait.
Il serait faux de dire qu’il pleuvait sans cesse sur Brest, mais oui, il a beaucoup plu.
On m’a dit : « ici il fait beau tous les jours ». Je dirais même qu’il fait beau plusieurs fois chaque jour.
Et puis je me suis arrêtée à Morlaix. Plus de port de guerre, et il faisait beau. Je veux dire que j’y ai passé trois heures et qu’il a fait beau sans cesse.
Oui, Morlaix, à cause du viaduc et de Fantômas. Tu n’as pas ramené de plan, demande Guglielmo ? Mais si. Alors attends d’en être à la lettre M, pour en parler. Comme tu veux.
Il serait faux de dire qu’il pleuvait sans cesse sur Brest, mais oui, il a beaucoup plu.
On m’a dit : « ici il fait beau tous les jours ». Je dirais même qu’il fait beau plusieurs fois chaque jour.
Et puis je me suis arrêtée à Morlaix. Plus de port de guerre, et il faisait beau. Je veux dire que j’y ai passé trois heures et qu’il a fait beau sans cesse.
Oui, Morlaix, à cause du viaduc et de Fantômas. Tu n’as pas ramené de plan, demande Guglielmo ? Mais si. Alors attends d’en être à la lettre M, pour en parler. Comme tu veux.